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Plantes

  Principes toxiques :
Mycotoxine hépatotoxique (phomopsine), hétérosides cyanogènes.

Plantes

  Principes toxiques :
Fagopyrine, Acide oxalique, Hétérosides anthracéniques.

Plantes

  Principes toxiques :
Mercurialine, hermidine, Hétérosides cyanogènes.

Plantes

  Mode et temps de conservation : Difficile, à consommer dans les deux heures qui suivent la récolte, car il se détériore rapidement et se liquéfie. Peut se conserver plus longtemps s’il est immergé dans de l’eau.

Épices

  Description de l'épice : Terme générique donné à une grande variété de mélanges d'épices principalement pour la cuisine indienne, pakistanaise, bangladaise, thaïlandaise, réunionnaise ou mauricienne. Ils contiennent généralement tous, plus ou moins, du piment et suivant la région ou la culture, des graines de Coriandre, du Cumin, du Gingembre, de la Cardamome, du Fenugrec, des Clou de girofle, des graines de moutarde, de l'Ail, de la Citronnelle, etc. Sa couleur jaune ou rouge est due au Curcuma ou au Paprika.

Épices

  Description de l'épice : Bulbe d'une variété rose d'ail (Allium sativum)

Épices

  Description de l'épice : Le terme "zaatar" désigne en arabe le thym, mais aussi la famille des lamiacées ou un mélange d'épices contenant par exemple : du Thym (ou plus précisément une variété d’hysope), de l'Sauce soja, du calament des champs, de la Sarriette, des graines de Sésame, du Sumac, de la Marjolaine et, éventuellement, de l’Anis, de la Coriandre et du Cumin

Épices

  Description de l'épice : Fruits d'une variété de piments (Capsicum frutescens), 6 sur l'échelle de Scoville

Épices

  Description de l'épice : Bulbe d'une variété rose d'oignon (Allium cepa)

Épices

  Description de l'épice : Sauce à base d'une variété de piments rouges mûrs (Capsicum frutescens), broyés et fermentés avec du sel puis placés dans des tonneaux en chêne pour une maturation de trois ans. Une fois filtré, le liquide obtenu est mélangé à du vinaigre avant d'être mis en bouteilles.

Patrimoine

  Nom de l'élément : Ferme Creu d'en Corbetella

Patrimoine

  Description : Trou d’une dizaine de mètres de profondeur, donc l’entrée a été bouchée au ciment pour des raisons de sécurité.

Patrimoine

  Description : devant l'entrée du Mas de Pierrelle, Ce puits appartenait à la SNCF et servait à alimenter en eau les personnes qui vivaient dans la maisonnette garde-barrière plus loin vers le nord à 100 mètres. Les gens du mas de Siau au-dessus n’avaient pas le droit de prendre l’eau. Si le puits était vide en été, un wagon-citerne venait et remettait de l'eau à l’intérieur. Source : Pierres d'Iris

Patrimoine

  Description : construction récente, dans une propriété privée

Patrimoine

  Description : dans la propriété d'un particulier

Patrimoine

  Description : Le menhir de la Casa Cremada II est une pierre dressée en gneiss sous forme de stèle et à section rectangulaire. Il a une hauteur de 2,35 mètres mais on n'en connaît pas l'origine car, lorsqu'il a été découvert, il était cassé à la base. Il s'agit d'un monument préhistorique dont la chronologie est plutôt vaste (entre le quatrième et le troisième millénaire av. J.-C.) étant donné qu'on trouve des menhirs pendant le Néolithique moyen et final et le chalcolithique. Il a été découvert par le géologue Carles Roqué en 1998 et a été redressé l'année suivante dans le cadre du Mai Mégalithique, une fête populaire qu'on célèbre chaque année à Rosas depuis 1997. L'orientation que présente le menhir est approximative car on n’a jamais fait de fouilles et on ne connaît pas le lieu où il était implanté à l'origine. Il y a quelque années, cet élément archéologique a été victime de vandalisme et a été sectionné de façon volontaire sur sa partie inférieure. Actuellement le menhir présente tout autour une terrasse maçonnée qui le maintient dressé mais qui empêche de le voir tel qu'il était lorsqu'il a été redressé.

Patrimoine

  Description : Cabane faite de pierres disposées à sec, qui aurait été utilisée par les paysans qui cultivaient le champ où elle se trouve. La cabane devait servir à entreposer les outils ou la récolte ou bien pour s'abriter en cas de mauvais temps. La porte est orientée au sud, à l'abri de la tramontane, et elle est de petite dimension par rapport à la hauteur et à la largeur de la construction. La cabane est à base ovale et construite avec des pierres du sous-sol naturel, issues de l'épierrage du champ pour le cultiver. Ici, il s'agit de pierres en granit et en ardoise. La couverture de la cabane est également faite en pierre sèche suivant la technique de la fausse voûte (ou encorbellement), caractérisée par le fait que chaque rangée prend pour support la précédente jusqu'à fermeture de l'espace. On ne peut donner une chronologie précise à cette construction car il s'agit d'un ouvrage de style populaire sans élément permettant de l'associer à une chronologie. Toutefois, il est très probable qu'elle ait été construite au cours des XVIIe ou XVIIIe siècles, époque à laquelle de nouvelles terres de culture sont aménagées dans des zones incultes de la commune pour y planter de la vigne ou des oliviers.

Patrimoine

  Description : Vestiges d'une ancienne bâtisse identifiés comme appartenant éventuellement à une église préromane. À base rectangulaire, ses murs étaient faits de pierres non taillées provenant des environs, disposées en épi et jointes à l'aide de boue. De par la largeur et la dimension de la bâtisse, celle-ci était probablement couverte d'une voûte, aujourd’hui écroulée. Côté sud, on observe les vestiges adossés d'une autre bâtisse ultérieure. Tant l'orientation de la bâtisse principale que la technique de construction suggèrent une chronologie éloignée. L'hypothèse qui défend l'attribution d'un emploi comme temple est fondée sur son orientation et sur le fait qu'il s'agit d'une construction à une seule nef allongée et étroite avec un accès côté sud, traits caractéristiques des anciens bâtiments de culte ruraux. Les murs qu'on voit adossés sur le côté sud de cette première bâtisse ont été ajoutés ultérieurement. La technique de construction utilisée y est plus irrégulière et plus austère que sur l'autre bâtiment, les pierres sont plus petites et seuls les blocs en coin présentent des marques de taille. La bâtisse, à défaut d'une intervention archéologique qui viendrait le confirmer, est interprétée comme une partie d'une ancienne cellule monastique avec une église et des dépendances à côté.

Patrimoine

  Description : Le menhir de la Casa Cremada I est un grand bloc de gneiss qui se trouve dans la zone mégalithique de Roses et qui est probablement d'origine préhistorique. Il se présente sous forme de stèle et mesure 2,4 mètres de hauteur. La pierre présente une veine blanche de quartz sur la partie supérieure qui le caractérise et les bords du mégalithe ont été taillés depuis longtemps pour lui donner la forme souhaitée. Il a été découvert au mois de décembre 1996 par des habitants de Roses, Carles Pàramo Barbarà et Esteve Martínez, qui l'ont baptisé du nom de la zone où il se trouve. Le menhir a ensuite été examiné par des experts qui en ont déterminé la probable origine préhistorique à l'issue de fouilles. Au mois de mai de l'année suivante, en 1997, il a été redressé au cours de la première fête mégalithique. Il a été donné au menhir une orientation nord-sud et celle-ci est exacte car, au cours des fouilles, on a retrouvé son trou d'origine et les pierres ou dalles qui le calaient. Ainsi donc, hormis le fait qu'on ait pu établir son orientation, l'endroit où il se trouve actuellement est bien celui où l'avaient situé ses constructeurs à un moment donné entre le quatrième et le troisième millénaire avant Jésus-Christ.

Patrimoine

  Description : Les terrasses de culture, cabanes, murs de mas et terrains pierreux évoquent le passé prospère d'une terre labourée et plantée de vignes et oliviers. Le retrait des pierres sur ces terres a permis de fournir la matière première suffisante pour bâtir ces constructions qui, avec l'arrivée du phylloxéra, ont été pour la plupart abandonnées. La technique de construction utilisée est connue sous le nom de pierre sèche et consiste à disposer les pierres par rangées sans être jointes par un quelconque matériau. Les pierres utilisées proviennent des lieux mêmes et ne sont en principe pas taillées. Dans ce secteur, le sol est pierreux et le déblayage de nouvelles surfaces de culture à fourni des pierres en abondance aux paysans. Les cabanes ont été construites dans les champs qui étaient éloignés du village pour y garder les outils ou pour se protéger en cas de mauvais temps. Celle que nous avons sous les yeux est une cabane de type tronconique avec un anneau de contention qui vient la renforcer. La fausse voûte (ou encorbellement), toujours conservée, est couronnée d'une dalle mobile permettant de laisser sortir la fumée lorsqu'on faisait du feu.

Patrimoine

  Description : Le menhir de la Casa Cremada III est une pierre dressée en granit qui mesure 1,70 mètres de hauteur pour 1,20 de largeur à la base et 66 centimètres sur la partie supérieure. Il a une orientation très proche du N/S exacte (10º-190º) et une section rectangulaire. On voit que les côtés ont été repiqués et le côté sud est écorné. Son origine préhistorique n'a été confirmée par aucun scientifique. Il a été découvert par un habitant de Rosas, Miquel Palós Padrós, en 2002 et on pense qu'il a toujours été dressé. Pendant la préhistoire les menhirs remplissaient très certainement des fonctions de signalisation ou bien de type religieux et on les trouve fréquemment dans des zones dolméniques telles que celle où nous nous trouvons. Ces mégalithes présentent une chronologie vaste qui va du quatrième ou troisième millénaire av. J.-C. Cette pierre dressée pourrait bien être un menhir ou une borne. Toutefois, de par le fait qu'il se trouve dans une zone dolménique, il y a de fortes probabilités pour qu'il s'agisse d'un mégalithe et que ce soit l'un des quatre menhirs que le chercheur Manuel Cazurro aurait observé en 1912 dans les environs du dolmen de la Creu d'en Cobertella.

Patrimoine

  Description : Également connu sous le nom de Turó de l'Home, il s'agit d'un dolmen à chambre trapézoïdale courte, bâtie à l'aide de dalles en gneiss et à couloir étroit, bien que ce dernier élément ne soit plus visible. Derrière la partie frontale, il reste encore une partie du tumulus qui l'entourait, dont on estime la dimension à 7 ou 8 mètres de diamètre. Ce lieu a été aplani et le dolmen restauré au début des années 80. Il est connu depuis 1919, époque à laquelle Pere Bosch i Gimpera l'a répertorié, sous le nom de Puig de la Sureda d'En Mairó mais il a été désigné sous d'autres appellations au fil du temps, dont le nom actuel de Sureda d'En Falp ou Llit del General. Il a fait l'objet de fouilles à plusieurs reprises, les premières étant réalisées en 1919 par Pere Bosch i Gimpera qui y retournera en 1925, accompagné de Lluís Pericot. Pere de Palol et Miquel Oliva y ont aussi fait des fouilles en 1946. Au cours des dernières fouilles, on y a trouvé des objets d'un grand intérêt tels qu'un couteau et un grattoir en silex, un grain ou pièce de collier en stéatite et une autre en forme de disque en turquoise. Ces deux dernières pièces sont faites dans des minéraux très prisés dans l'habillement au cours du Néolithique.

Patrimoine

  Description : Le dolmen du Llit de la Generala ou de la Sureda d'En Falp est une sépulture à couloir avec une chambre à tendance pseudo-circulaire et un couloir étroit. Il est en gneiss et présente une orientation nord-est, bien que le couloir, fait de murs en pierre sèche, se dévie de 50º vers l'ouest, probablement pour corriger l'orientation originale de la chambre. Avant les fouilles et avant d'être restauré en 2001, le mégalithe était encastré dans un muret de vigne qui en protégeait le tumulus, le couloir et les dalles tombées. Au cours des fouilles, on a pu récupérer une grande partie de la structure originale, ce qui a facilité la reconstruction du dolmen pour en favoriser la compréhension. Seul le côté gauche du tumulus a dû être refait complètement. Les fouilles sur le site ont permis de récupérer des fragments provenant d'ustensiles funéraires, en particulier dans un trou situé à l'entrée du couloir qui était très certainement la cavité rituelle. On a retrouvé dans cette cavité des objets d'un grand intérêt tels que trois bols en céramique et une assiette qui ont permis une chronologie plus précise du mégalithe autour de 3500 av. J.-C. ; toutefois, son utilisation a dû se poursuivre jusqu'au début du troisième millénaire.

Patrimoine

  Description : Tour construite pendant la guerre de Trente Ans pour protéger l'accès à la ville de La Jonquera, elle a également été utilisée comme élément final de la ligne télégraphique optique en Catalogne.

Patrimoine

  Description : Ancienne chapelle désacralisée dans un propriété privée. Ne pas entrer !

Patrimoine

  Lieu : Villetelle

Patrimoine

  Lieu : Villetelle

Patrimoine

  Lieu : Villetelle

Patrimoine

  Lieu : Villetelle

Patrimoine

  Lieu : Villetelle

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