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Résultats trouvés pour : ours
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Autres noms communs, locaux ou populaires : Cyprès sempervirent, Cyprès toujours vert, Cyprès d'Italie, Cyprès de Provence, Cyprès pyramidale
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Autres noms communs, locaux ou populaires : Berce sphondyle, Grande berce, Branc-ursine, Patte d'ours, Patte de loup, Frênelle, Herbe du Diable, Fausse Acanthe, Cuques, Corne de chèvre
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Autres noms communs, locaux ou populaires : Renouée faux liseron, Vrillée faux liseron, Vrillée sauvage, Renouée liseronne, Renouée noire, Liseron noir des champs, Chevrier, Bind ours, Maïs bind, Liseron escalade, Sarrasin escalade, Se lient de maïs, Liseron des champs de maïs, Attache du diable
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Nom en occitan : Èrba del còr, Erba dan cor, Èrba dau càr, Èrba de cur, Èrba de l'evangèli, Borsa de pastre, Borsa de pastra, Bourso a pastre, Borsa de judas, Naston fèr, Talaspic, Capsella, Borseta, Bonet del capelan, Taboret
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Lieux où la plante pousse en général : prés des cours d'eau, en zones chaudes et ensoleillées, sur rochers et murailles donc il déstabilise la structure avec ses profondes racines.
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Étymologies des noms français et latins : Cupressus : Selon la mythologie. Dédié au jeune Grec Cuparissos transformé par Apollon en cyprès. 
Sempervirens,Sempervivum : Du latin 'semper' (toujours) et 'vivo' (je vis) car les feuilles sont toujours vertes.
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Étymologies des noms français et latins : Heliotropium : Du grec 'hêlios' (soleil) et 'trepô' (tourner), car les fleurs suivent la course du soleil. 
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Étymologies des noms français et latins : Joubarbe : Du latin 'jovis barba' (barbe de Jupiter) La plante a longtemps été plantée sur les toits, car on pensait qu'elle protègerait les habitations de la foudre.
Sempervirens,Sempervivum : Du latin 'semper' (toujours) et 'vivo' (je vis) car les feuilles sont toujours vertes.
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Étymologies des noms français et latins : Buxus : Du grec 'pyxis' (boite) qui a donné pyxos (le buis), allusion à l'usage de son bois. 
Sempervirens,Sempervivum : Du latin 'semper' (toujours) et 'vivo' (je vis) car les feuilles sont toujours vertes.
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Étymologies des noms français et latins : Alnus : Nom latin de cet arbre, du celtique 'lan' (voisin des cours d'eau). 
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Étymologies des noms français et latins : Carlina : De 'Carolus' (Charles), allusion à une légende (?) citée par Bauhin selon laquelle Charlemagne recommandait ce végétal à ses soldats pour les soigner de la peste à la suite d'un songe au cours duquel un ange lui aurait conseillé cette thérapeutique. 
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Étymologies des noms français et latins : Alnus : Nom latin de cet arbre, du celtique 'lan' (voisin des cours d'eau). 
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Description détaillée de la plante : Forme souvent d'importantes colonies, couverte de cours poils blanchâtres.
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Description détaillée de la fleur : rose le premier jour, bleu azur les jours suivants, en forme d'étoile à 5 pétales. 5 étamines conniventes forment une pointe noire au centre de la fleur.
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Description détaillée de la fleur : Nombreuses inflorescences d'aspect sphérique semblable à un oursin, bleu violet, formées de capitule de capitules, fleur tubulée à cinq lobes et à bractées sèches et épineuses, 5 pétales, 5 sépales, 5 étamines gris-bleu.
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Risque de confusion avec : Avec les pignons chinois non comestibles, issues d'un autre arbre (Pinus armandii), ils sont plus petits, amèrs, moins allongées et ont la forme des menhirs d'Obélix. Plusieurs témoins racontent qu'après consommation des pignons chinois ils étaient sujets à de troubles gastriques et que pendant plusieurs jours ils avaient une amertume désagréable en bouche. Ils sont malheureusement encore commercialisés.
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Notes complémentaires : Moins de risque de contamination par la douve du foie, car elle ne pousse pas dans les cours d'eau.
Plante hôte du papillon Aurore ou Piéride du Cresson (Anthocharis cardamines).
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Notes complémentaires : La roquette entre dans la composition du mesclun, mélange niçois de salades.
Conservation : Dans un sac troué, quelques jours dans le bas du réfrigérateur ou congelée après avoir été blanchie.
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Notes complémentaires : Avec le jus des pépins de la grenade était autrefois fabriqué le sirop de Grenadine. L'industrie n'utilise de nos jours qu'un mélange de fruits rouges.
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Mode et temps de conservation : Feuilles : 3 semaines au réfrigérateur.
Fleurs : 10 jours au réfrigérateur.
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Nom de l'élément : Les Tours de Merle
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Nom de l'élément : Tours de Carbonnières
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Nom de l'élément : Les Quatre Châteaux de Lastours
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Description : Bâti au néolithique final (vers -3000), il était toujours en usage à l’époque du cuivre (à campanifonne) et aux premiers temps de l’âge du bronze. La tombe des fades est le plus grand dolmen du midi de la France.
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Description : Cabane faite de pierres disposées à sec, qui aurait été utilisée par les paysans qui cultivaient le champ où elle se trouve. La cabane devait servir à entreposer les outils ou la récolte ou bien pour s'abriter en cas de mauvais temps. La porte est orientée au sud, à l'abri de la tramontane, et elle est de petite dimension par rapport à la hauteur et à la largeur de la construction. La cabane est à base ovale et construite avec des pierres du sous-sol naturel, issues de l'épierrage du champ pour le cultiver. Ici, il s'agit de pierres en granit et en ardoise. La couverture de la cabane est également faite en pierre sèche suivant la technique de la fausse voûte (ou encorbellement), caractérisée par le fait que chaque rangée prend pour support la précédente jusqu'à fermeture de l'espace. On ne peut donner une chronologie précise à cette construction car il s'agit d'un ouvrage de style populaire sans élément permettant de l'associer à une chronologie. Toutefois, il est très probable qu'elle ait été construite au cours des XVIIe ou XVIIIe siècles, époque à laquelle de nouvelles terres de culture sont aménagées dans des zones incultes de la commune pour y planter de la vigne ou des oliviers.
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Description : Le menhir de la Casa Cremada I est un grand bloc de gneiss qui se trouve dans la zone mégalithique de Roses et qui est probablement d'origine préhistorique. Il se présente sous forme de stèle et mesure 2,4 mètres de hauteur. La pierre présente une veine blanche de quartz sur la partie supérieure qui le caractérise et les bords du mégalithe ont été taillés depuis longtemps pour lui donner la forme souhaitée. Il a été découvert au mois de décembre 1996 par des habitants de Roses, Carles Pàramo Barbarà et Esteve Martínez, qui l'ont baptisé du nom de la zone où il se trouve. Le menhir a ensuite été examiné par des experts qui en ont déterminé la probable origine préhistorique à l'issue de fouilles. Au mois de mai de l'année suivante, en 1997, il a été redressé au cours de la première fête mégalithique. Il a été donné au menhir une orientation nord-sud et celle-ci est exacte car, au cours des fouilles, on a retrouvé son trou d'origine et les pierres ou dalles qui le calaient. Ainsi donc, hormis le fait qu'on ait pu établir son orientation, l'endroit où il se trouve actuellement est bien celui où l'avaient situé ses constructeurs à un moment donné entre le quatrième et le troisième millénaire avant Jésus-Christ.
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Description : Les terrasses de culture, cabanes, murs de mas et terrains pierreux évoquent le passé prospère d'une terre labourée et plantée de vignes et oliviers. Le retrait des pierres sur ces terres a permis de fournir la matière première suffisante pour bâtir ces constructions qui, avec l'arrivée du phylloxéra, ont été pour la plupart abandonnées. La technique de construction utilisée est connue sous le nom de pierre sèche et consiste à disposer les pierres par rangées sans être jointes par un quelconque matériau. Les pierres utilisées proviennent des lieux mêmes et ne sont en principe pas taillées. Dans ce secteur, le sol est pierreux et le déblayage de nouvelles surfaces de culture à fourni des pierres en abondance aux paysans. Les cabanes ont été construites dans les champs qui étaient éloignés du village pour y garder les outils ou pour se protéger en cas de mauvais temps. Celle que nous avons sous les yeux est une cabane de type tronconique avec un anneau de contention qui vient la renforcer. La fausse voûte (ou encorbellement), toujours conservée, est couronnée d'une dalle mobile permettant de laisser sortir la fumée lorsqu'on faisait du feu.
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Description : Le menhir de la Casa Cremada III est une pierre dressée en granit qui mesure 1,70 mètres de hauteur pour 1,20 de largeur à la base et 66 centimètres sur la partie supérieure. Il a une orientation très proche du N/S exacte (10º-190º) et une section rectangulaire. On voit que les côtés ont été repiqués et le côté sud est écorné. Son origine préhistorique n'a été confirmée par aucun scientifique. Il a été découvert par un habitant de Rosas, Miquel Palós Padrós, en 2002 et on pense qu'il a toujours été dressé. Pendant la préhistoire les menhirs remplissaient très certainement des fonctions de signalisation ou bien de type religieux et on les trouve fréquemment dans des zones dolméniques telles que celle où nous nous trouvons. Ces mégalithes présentent une chronologie vaste qui va du quatrième ou troisième millénaire av. J.-C. Cette pierre dressée pourrait bien être un menhir ou une borne. Toutefois, de par le fait qu'il se trouve dans une zone dolménique, il y a de fortes probabilités pour qu'il s'agisse d'un mégalithe et que ce soit l'un des quatre menhirs que le chercheur Manuel Cazurro aurait observé en 1912 dans les environs du dolmen de la Creu d'en Cobertella.
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Description : Sépulture à couloir répertoriée pour la première fois en 1912. Conservé dans une ferme, dont il prend le nom, le dolmen fut utilisé comme basse-cour jusqu'à l'abandon du mas. En 1957 l'archéologue Francesc Riuró mena à bien une campagne de fouille et de restauration du mégalithe, qui permit de fournir des renseignements sur le couloir et le grand tumulus qui l'entourait. La construction du dolmen se situe entre 3500 et 3000 av. J.-C. Le mégalithe est fait de grandes dalles en gneiss, une pierre abondante dans les environs immédiats, qui configurent la chambre de forme trapézoïdale. Les dalles qui la ferment, la couverture ovale et l'antichambre sont toujours sur pied. Ce qui n'est plus visible, c'est le couloir qui donnait accès à la chambre, formé de trois dalles sur le côté ouest et quatre à l'est, et que l'on identifie grâce aux incisions trouvées sur la roche, où étaient implantées les dalles. Quant à ses dimensions, le dolmen de la Creu d'en Cobertella est considéré comme l'un des plus importants de Catalogne. Par ailleurs, le poids considérable de la dalle de couverture fait que l'équilibre de la structure soit fragile. Pour en garantir la conservation, depuis quelques années, une clôture interdit aux visiteurs de s'en approcher et il est indiqué, par sécurité, de ne pas y monter.